<body><div id="i9jk" class="builder-container"><div id="iw3k" class="builder-row"><div id="i8m9" data-column-align-items="1" class="builder-column">La Fédération Française du Sport Automobile tient à féliciter Isack Hadjar, pilote issu du parcours d’excellence de la FFSA, qui accédera à la Formule 1 en 2025 au sein de l’équipe Racing Bulls. Ce vendredi 20 décembre marque une étape majeure dans la carrière du jeune talent tricolore, qui deviendra le troisième représentant français sur la grille du Championnat du Monde de F1, aux côtés de Pierre Gasly (Alpine) et Esteban Ocon (Haas).  Un parcours exemplaire au sein de la FFSA Academy  Repéré par la Direction Technique Nationale de la FFSA en 2017, Isack Hadjar a rejoint la FFSA Academy et a bénéficié d’un accompagnement pour le développement de sa carrière. Plus de sept ans après son intégration au sein du centre de formation fédéral, le pilote âgé de 20 ans va réaliser son rêve : devenir pilote de Formule 1.  Pur produit de la filière FFSA, Isack a fait ses classes en participant au Championnat de France FFSA Junior Karting en 2017 et au Championnat de France FFSA F4 en 2019 et 2020 avant d’intégrer l’Équipe de France FFSA Circuit en 2021. </div><div id="iuq4" class="builder-column"><img alt="" src="https://medias.ffsa.org/uploads/images/medias/2024/12/hadjar-ffsa-academy.jpg" id="i1dxc" class="builder-image"/></div></div><div id="i961r" data-column-flex-direction="1" class="builder-row builder-row-reverse"><div class="builder-column"><img alt="" src="https://medias.ffsa.org/uploads/images/medias/2024/12/hadjar-volant-d-or.jpg" id="ipm3a" class="builder-image"/></div><div id="i9457" data-column-align-items="1" class="builder-column">Passé par les Championnats de FRECA, F3 et F2 sous les couleurs de la FFSA, le récent vice-champion de Formule 2 a démontré toute sa détermination et sa rapidité dans les formules d’accession. C’est cette rapidité en piste qui a tapé dans l’oeil de Red Bull et Helmut Marko à l’issue de sa victoire à Monaco en 2021, en FRECA. Il intègre dans la foulée les rangs du Red Bull Junior Team et trace son parcours avec brio jusqu'au pinacle du sport automobile. Il fera équipe en 2025 avec Yuki Tsunoda au sein de l'écurie Visa Cash App RB Formula One Team pour sa première saison en Formule 1.Un parcours salué par la FFSA à l’occasion de sa remise de prix annuelle   Jeudi soir, Isack Hadjar était à Paris, sa ville natale, pour recevoir son tout premier Volant d’Or, une distinction décernée par la FFSA pour récompenser les performances et l’engagement des meilleurs talents français. Ce prix, remis par le Président Pierre Gosselin, vient couronner son parcours remarquable et préparer son entrée dans l’élite mondiale du sport automobile.   </div></div><div id="ip3z2" class="builder-row"><div id="il9r9" data-column-align-items="1" class="builder-column">Christophe Lollier, Directeur Technique National : «  C’est l’accomplissement d’un long parcours, semé d’embûches. Isack a toujours su puiser dans ses ressources pour gravir chaque échelon et atteindre le Graal. Nous sommes vraiment fiers de lui.  C’est également une grande satisfaction pour la Fédération : ce succès prouve une nouvelle fois l’efficacité du dispositif de détection mis en place pour les jeunes pilotes.  Je n’ai aucun doute que ce jeune pilote brillera rapidement sur la planète F1. » Jacques Clément, Membre du Conseil d’administration de la FFSA Academy : «  À l’Academy, nous avons rapidement détecté ses capacités, son envie et sa détermination. Une graine de champion qui a tout de suite attiré l’attention. Il a franchi de nombreuses étapes non sans difficultés. Élève attentif et sérieux, il a toujours conservé cette volonté inébranlable de croire en lui.  »</div><div data-column-align-items="1" id="iesih" class="builder-column"><img alt="" src="https://medias.ffsa.org/uploads/images/medias/2024/12/hadjar-ksp-015-0869-2.jpg" id="iiqbs" class="builder-image"/></div></div></div></body><style>* { box-sizing: border-box; } body {margin: 0;}.builder-container{padding:10px;}.builder-row{display:grid;grid-auto-columns:1fr;grid-auto-flow:column;grid-column-gap:64px;padding-bottom:64px;}.builder-row:empty{padding-top:10px;padding-right:10px;padding-left:10px;}.builder-column{width:auto;display:flex;flex-direction:column;justify-content:center;}.builder-column:empty{padding:10px;}.builder-text{font-family:'Poppins', sans-serif;color:#7982a6;font-size:.75rem;font-weight:500;}.builder-image{display:block;width:100%;}#i1dxc{max-width:100%;height:auto;}#ipm3a{max-width:100%;height:auto;}#i9457{display:block;flex-direction:null;justify-content:null;}#iiqbs{max-width:100%;height:auto;}#iesih{display:block;flex-direction:null;justify-content:null;}#il9r9{display:block;flex-direction:null;justify-content:null;}#i8m9{display:block;flex-direction:null;justify-content:null;}#izq3k{font-style:italic;}@media (max-width: 992px){.builder-row-reverse{grid-auto-flow:row !important;padding-bottom:0px !important;}.builder-row-reverse > *:first-child{order:1;}}</style>

Circuit

Une fierté pour la Fédération Française du Sport Automobile et son centre de formation, la FFSA Academy.

Isack Hadjar sera pilote de Formule 1 en 2025

<h4>Les faits marquants :</h4>
- Performant en qualifications (3e) comme en course, Isack n&rsquo;a pas &eacute;t&eacute; r&eacute;compens&eacute; avec une belle 5e place dans l&rsquo;&eacute;preuve Sprint et un calage au d&eacute;part de l&rsquo;ultime manche de la saison.
- 19e &agrave; l&rsquo;arriv&eacute;e, Isack boucle l&rsquo;ann&eacute;e 2025 &agrave; la 2e place de l&rsquo;antichambre de la F1.
- Auteur de la pole position, Victor a &eacute;t&eacute; mis hors-course le samedi et a pris les points de la 4e place le dimanche. 
<h4>Des qualifications qui donnent la p&ecirc;che</h4>
&Agrave; l&rsquo;issue de 14 manches palpitantes, le championnat 2025 de Formule 2 est all&eacute; jusqu&rsquo;au bout du suspense pour d&eacute;signer son champion &agrave; Abou Dhabi. Isack Hadjar ne succ&egrave;de pas &agrave; Th&eacute;o Pourchaire au palmar&egrave;s de la discipline et Victor Martins n&rsquo;a pas r&eacute;colt&eacute; les lauriers de la victoire malgr&eacute; un week-end entam&eacute; sur les chapeaux de roue pour les deux pilotes de l&rsquo;&Eacute;quipe de France FFSA Circuit qui ont manqu&eacute; de r&eacute;ussite dans les deux courses.
Apr&egrave;s &ecirc;tre revenu sur les talons du leader du championnat une semaine plus t&ocirc;t au Qatar, Isack &eacute;tait confiant de pouvoir conna&icirc;tre une issue heureuse et glorieuse &agrave; Abou Dhabi. Quatri&egrave;me des qualifications apr&egrave;s avoir particip&eacute; &agrave; la premi&egrave;re s&eacute;ance d&rsquo;essais libres de Formule 1 au volant de la Red Bull du champion du monde Max Verstappen, Isack soulignait &laquo; C&rsquo;&eacute;tait fabuleux, mais passer de la F1 &agrave; la F2 demande un temps d&rsquo;adaptation ! &Ccedil;a a fauss&eacute; mes rep&egrave;res pour ma premi&egrave;re s&eacute;rie de tours rapides&hellip; &Ecirc;tre si pr&egrave;s de la pole position et partir de la 2e ligne alors que j&rsquo;&eacute;tais en vrac dans mon premier tour lanc&eacute;, c&rsquo;&eacute;tait tr&egrave;s encourageant ! &raquo;.
Sans autre objectif que de terminer la saison en beaut&eacute;, Victor a l&acirc;ch&eacute; les chevaux en signant la pole position &ndash; sa premi&egrave;re de la saison et sa 4e dans la discipline. &laquo; C&rsquo;est une grande fiert&eacute; pour l&rsquo;&eacute;quipe car &ccedil;a r&eacute;compense le travail accompli apr&egrave;s un d&eacute;but de saison compliqu&eacute; &raquo;, explique le pilote Alpine, &laquo; Depuis plusieurs week-ends est tout le temps dans le coup, on a redress&eacute; la barre &raquo;.
&nbsp;
<h4>Deux courses mi-figue mi-raisin</h4>
Impatient de capitaliser sur son excellent rythme des qualifications, Victor a pris un d&eacute;part fulgurant depuis la 10e place de la grille de la course Sprint. Cinqui&egrave;me au premier virage, il a malheureusement &eacute;t&eacute; percut&eacute; &agrave; l&rsquo;arri&egrave;re par un concurrent. Parti en t&ecirc;te-&agrave;-queue, il est reparti dernier et n&rsquo;a pu rattraper le terrain perdu. &laquo; C&rsquo;est toujours frustrant de ne pas pouvoir profiter d&rsquo;un excellent d&eacute;part et d&rsquo;un package qui avait s&ucirc;rement le niveau pour monter sur le podium &raquo; souffle Victor.
&Agrave; l&rsquo;oppos&eacute;, Isack a d&eacute;gringol&eacute; de la 6e &agrave; la 11e place dans le premier tour. Malgr&eacute; un aileron endommag&eacute;, il a trouv&eacute; les ressources pour marquer des points pr&eacute;cieux (5e). &laquo; Avec un bon d&eacute;part, j&rsquo;aurais pu jouer devant comme l&rsquo;a d&eacute;montr&eacute; mon &eacute;quipier. Et je n&rsquo;aurais peut-&ecirc;tre pas eu de d&eacute;g&acirc;ts sur l&rsquo;auto apr&egrave;s avoir &eacute;t&eacute; pris en sandwich dans le premier virage. Malgr&eacute; &ccedil;a, j&rsquo;avais un excellent rythme et c&rsquo;&eacute;tait motivant pour la course principale &raquo;.
Le lendemain, Victor a perdu 7 places quand son anti-calage s&rsquo;est d&eacute;clench&eacute; &agrave; l&rsquo;extinction des feux. Avec sang-froid, il a su rebondir en se frayant un chemin jusqu&rsquo;&agrave; la 2e place, avant que ses pneus ne subissent une chute de performance. &laquo; Sur la fin, j&rsquo;&eacute;tais une proie facile pour ceux qui avait des gommes tendres neuves. On peut avoir des regrets car depuis la pole position et compte tenu de notre rythme de course, la victoire &eacute;tait &agrave; notre port&eacute;e &raquo;.
Pour Isack, qui ne comptait que 4,5 points de retard sur le futur champion Gabriel Bortoleto, la victoire en course et au championnat s&rsquo;est &eacute;vanouie dans la chaleur d&rsquo;Abou Dhabi. Moteur cal&eacute;, le Fran&ccedil;ais n&rsquo;a pu s&rsquo;&eacute;lancer qu&rsquo;apr&egrave;s deux tours de course. &laquo; Le contrat &eacute;tait simple : la Victoire en course nous amenait le titre quel que soit le r&eacute;sultat de Bortoleto. J&rsquo;&eacute;tais confiant car on &eacute;tait les plus rapides avec les deux types de pneus. Mais j&rsquo;ai cal&eacute;. On ne comprend pas d&rsquo;o&ugrave; &ccedil;a vient. Je suis frustr&eacute; de ne pas avoir pu d&eacute;fendre mes chances pour aller chercher le titre &raquo; conclut Isack.
&nbsp;
<h4>R&eacute;sultats et classements</h4>
Victor Martins Course 1 Position sur la grille : 10e R&eacute;sultat : 19e&nbsp; &nbsp;
Course 2 Position sur la grille : Pole position R&eacute;sultat : 4e&nbsp; &nbsp; &nbsp;&nbsp;
Championnat 7e, 107 points
&nbsp;
Isack Hadjar Course 1 Position sur la grille : 6e R&eacute;sultat : 5e&nbsp; &nbsp;
Course 2 Position sur la grille : 3e R&eacute;sultat : 19e&nbsp; &nbsp;&nbsp;
Championnat 2e, 192 points

La finale du championnat n’a pas délivré le scénario espéré pour Isack qui boucle la saison 2025 avec le titre honorifique de vice-champion sans avoir pu lutter dans la dernière course.

Hadjar devient vice-champion de Formule 2

Les faits marquants :
- Malgr&eacute; des qualifications compliqu&eacute;es, Isack Hadjar a renvers&eacute; la vapeur en course avec une 4e et une 2e place.
- Il tentera de succ&eacute;der &agrave; Th&eacute;o Pourchaire au palmar&egrave;s de la F2 &agrave; Abou Dhabi lors de la finale de la saison.
- Malgr&eacute; d&rsquo;excellentes performances, Victor Martins a tr&eacute;buch&eacute; sur le sort alors que deux podiums se profilaient &agrave; l&rsquo;horizon de Losail.
&nbsp;
Le pari des pneus tendres
Au terme de 11 longues semaines de pause depuis la 12e manche du championnat de Formule 2, Isack Hadjar et Victor Martins ont retrouv&eacute; le chemin des circuits avec la d&eacute;couverte du trac&eacute; de Losail, au Qatar, avant d&rsquo;encha&icirc;ner une semaine plus tard sur la finale d&rsquo;Abou Dhabi.
Inconnu des pilotes et des &eacute;curies, le circuit de Losail a d&eacute;jou&eacute; toutes les simulations en distillant des temp&eacute;ratures fra&icirc;ches lors des roulages disput&eacute;s dans le soleil couchant ou &agrave; la nuit tomb&eacute;e.
Sans rep&egrave;re sur un circuit que la Formule 2 visitait pour la premi&egrave;re fois, les essais n&rsquo;ont pas &eacute;t&eacute; une promenade de sant&eacute; pour les deux pilotes de l&rsquo;&Eacute;quipe de France FFSA Circuit. Isack n&rsquo;a jamais trouv&eacute; le bon rythme et a sign&eacute; l&rsquo;une de ses moins bonnes performances en se hissant en bas du top 10 des qualifications. &laquo; On est parti du mauvais pied et m&ecirc;me si on a fait quelques progr&egrave;s on n&rsquo;a jamais r&eacute;ussi &agrave; bien exploiter les pneus &raquo;, plaide le pilote Red Bull.
Victor, apr&egrave;s avoir habilement corrig&eacute; le tir pour trouver de bons r&eacute;glages pour les qualifications, a sign&eacute; un 5e top 5 en 6 week-ends (3e). &laquo; Je n&rsquo;&eacute;tais pas ravi de l&rsquo;&eacute;quilibre de la voiture en essais libres, ni de la direction dans laquelle on allait. Au final, m&ecirc;me s&rsquo;il nous manquait encore un peu de performance, nous avons tr&egrave;s bien progress&eacute; pour pouvoir nous battre pour la premi&egrave;re ligne &raquo; explique le pilote Alpine.
Partis en pneus tendres au contraire de l&rsquo;immense majorit&eacute; de leurs adversaires, les deux pilotes de l&rsquo;&Eacute;quipe de France FFSA Circuit sont pass&eacute;s proches de l&rsquo;exploit tactique. Mais l&rsquo;abrasivit&eacute; du tarmac de Losail a pris le dessus sur les basses temp&eacute;ratures et a provoqu&eacute; un brutale d&eacute;gradation des gommes dans les derniers tours de la course sprint. Pass&eacute; de 7e &agrave; 3e au d&eacute;part, Victor a termin&eacute; hors de la zone des points. &laquo; Apr&egrave;s un tr&egrave;s bon d&eacute;part, on &eacute;tait sur de bons rails et on pouvait penser que le podium &eacute;tait &agrave; notre port&eacute;e, mais on a trop rapidement &eacute;t&eacute; rattrap&eacute; par la d&eacute;gradation des pneus &raquo; reconna&icirc;t Victor, longtemps intraitable en d&eacute;fense mais dans l&rsquo;incapacit&eacute; de passer &agrave; l&rsquo;offensive apr&egrave;s la mi-course.
Isack a id&eacute;alement exploit&eacute; et pr&eacute;serv&eacute; ses gommes, s&rsquo;est impos&eacute; en leader du 2e au 21e tour, puis a b&eacute;n&eacute;fici&eacute; d&rsquo;une neutralisation pour s&rsquo;accrocher &agrave; une 4e place synonyme de points pr&eacute;cieux dans l&rsquo;optique du championnat. &laquo; On a fait le pari des pneus tendres, mais c&rsquo;est un petit miracle d&rsquo;avoir pu rester en t&ecirc;te aussi longtemps. Et puis je suis parti &agrave; la faute, b&ecirc;tement, en prenant l&rsquo;air sale de Bearman lorsqu&rsquo;il m&rsquo;a d&eacute;pass&eacute; &raquo; explique Isack, qui a perdu deux places dans une sortie de piste, mais a malgr&eacute; tout &eacute;t&eacute; sauv&eacute; par le gong d&rsquo;une derni&egrave;re neutralisation qui a fig&eacute; les positions. 
Un podium gagn&eacute;, un autre perdu
Troisi&egrave;me sur la grille, Victor a perdu une place au d&eacute;part, promptement r&eacute;cup&eacute;r&eacute;e lors des arr&ecirc;ts aux stands, au 8e des 32 tours. Mais une voiture de s&eacute;curit&eacute; a rebattu les cartes, privant Victor de ses atouts et les offrant &agrave; Isack qui, en effectuant un pit stop &eacute;clair pendant la neutralisation, est pass&eacute; du bas du top 10 &agrave; la 3e place virtuelle.
Englu&eacute; dans le peloton, Victor a d&ucirc; abandonner apr&egrave;s un l&eacute;ger contact avec un concurrent, suspension pli&eacute;e. Dans le m&ecirc;me temps, Isack a gagn&eacute; un cran quand le leader de la course et du championnat a &eacute;cop&eacute; d&rsquo;une p&eacute;nalit&eacute;. &laquo; On a tout bien ex&eacute;cut&eacute; en se calant sur les voitures de s&eacute;curit&eacute;. On savait que la course serait un peu chaotique et qu&rsquo;il fallait avant tout rester en piste et attendre les neutralisations. On en a b&eacute;n&eacute;fici&eacute; pour grimper &agrave; la 3e place puis, quand on a appris que Bortoleto &eacute;tait p&eacute;nalis&eacute;, j&rsquo;ai d&ucirc; faire comme un tour de qualifications pour rester &agrave; 5 secondes de lui et prendre la 2e place&nbsp; &raquo; conclut Isack. Le Fran&ccedil;ais revient ainsi &agrave; 0,5 point de du Br&eacute;silien avant la finale d&rsquo;Abou Dhabi qui aura lieu le 8 d&eacute;cembre.
&nbsp;
R&eacute;sultats et classements
Victor Martins Course 1 Position sur la grille : 7e R&eacute;sultat : 9e&nbsp; &nbsp;&nbsp;
Course 2 Position sur la grille : 3e R&eacute;sultat : Abandon&nbsp; &nbsp; &nbsp;
Championnat 8e, 93 points
&nbsp;
Isack Hadjar Course 1 Position sur la grille : 2e R&eacute;sultat : 4e&nbsp; &nbsp;&nbsp;
Course 2 Position sur la grille : 9e R&eacute;sultat : 2e&nbsp; &nbsp; &nbsp;
Championnat 2e, 188 points
&nbsp; Prochaines courses : 6-8 d&eacute;cembre &agrave; Yas Marina (Abou Dhabi).

Au Qatar, un 8e podium permet à Isack de réduire son retard au championnat au strict minimum et de briguer le titre à Abou Dhabi. Malchanceux alors qu’il visait deux podiums, Victor Martins est rentré bredouille de Losail.

Hadjar revient à 0,5 point du leader en Formule 2

Taito Kato a &eacute;t&eacute; confirm&eacute; Champion de France F4 2024 face au Belge Yani Stevenheydens tandis que le Fran&ccedil;ais Jules Caranta se classait 3e. Ces trois pilotes d&rsquo;exception ont largement contribu&eacute; au niveau &eacute;lev&eacute; de l&rsquo;&eacute;dition 2024.
Le tribunal d&rsquo;appel de la FFSA a valid&eacute; le classement du Championnat de France F4 2024 avec le Japonais Taito Kato en tant que Champion devant Yani Stevenheydens et Jules Caranta. Les trois premiers du classement se sont livr&eacute;s une superbe bataille tout au long de la saison en dominant largement les d&eacute;bats. Gageons qu&rsquo;ils ont pos&eacute; l&agrave; les premiers &eacute;l&eacute;ments d&rsquo;une carri&egrave;re prometteuse en monoplace et que l&rsquo;on va les retrouver bient&ocirc;t dans les cat&eacute;gories sup&eacute;rieures forts des enseignements apport&eacute;s par la FFSA Academy.&nbsp;
Le Fran&ccedil;ais Augustin Bernier a termin&eacute; sur une note positive en rentant dans le top 5 final avec le m&ecirc;me nombre de points que le Luxembourgeois Chester Kieffer, devant le Tha&iuml;landais Rayan Caretti et l&rsquo;Andorran Frank Porte Ruiz, tous deux &eacute;galement &agrave; &eacute;galit&eacute; de points. Derri&egrave;re l&rsquo;Allemand Montego Maassen, le Fran&ccedil;ais Dylan Estre a progress&eacute; en 9e position face &agrave; son compatriote Jules Roussel, talonn&eacute; par le Britannique Gabriel Doyle-Parfait cr&eacute;dit&eacute; du m&ecirc;me score.&nbsp; 
Classement final du Championnat de France F4 2024
1- Taito Kato (Japon) 280 pts
2- Yani Stevenheydens (Belgique) 274 pts
3- Jules Caranta (France) 266 pts
4- Chester Kieffer (Luxembourg) 116 pts
5- Augustin Bernier (France) 116 pts
6- Rayan Caretti (Tha&iuml;lande) 111 pts
7- Frank Porte Ruiz (Andorre) 111 pts
8- Montego Maassen (Allemagne) 79 pts
9- Dylan Estre (France) 69 pts
10- Jules Roussel (France) 62 pts
11- Gabriel Doyle-Parfait (Grande-Bretagne) 62 pts
12- Alex O&rsquo;Grady (Irlande) 56 pts
13- Leonardo Megna (Italie) 48 pts
14- Enzo Caldaras (France) 35 pts
15- Jason Leung (Canada) 33 pts
16- Karel Schulz (France) 28 pts
17- Alexandre Munoz (France) 28 pts
18- Arthur Dorison (France) 21 pts
19- Edouard Borgna (France) 1 pt
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Taito Kato a été confirmé Champion de France F4 2024 face au Belge Yani Stevenheydens tandis que le Français Jules Caranta se classait 3e. Ces trois pilotes d’exception ont largement contribué au niveau élevé de l’édition 2024.

Kato est le Champion de France F4 2024

Aux c&ocirc;t&eacute;s d&rsquo;Andr&eacute; Lotterer et de Laurens Vanthoor, K&eacute;vin Estre a brillamment men&eacute; la Porsche 963 n&deg;6 de l'&eacute;curie Porsche Penske Motorsport tout au long de la saison. &Agrave; l'issue de la derni&egrave;re manche organis&eacute;e ce week-end aux 8 Heures de Bahre&iuml;n, l'ancien pensionnaire de la FFSA Academy devient le quatri&egrave;me pilote fran&ccedil;ais &agrave; remporter le titre pilotes en Championnat du Monde d'Endurance apr&egrave;s Beno&icirc;t Tr&eacute;luyer (2012), Lo&iuml;c Duval (2013) et Romain Dumas (2016). Apr&egrave;s une premi&egrave;re participation aux 24 Heures du Mans en 2015, lors de laquelle il obtient le prix Jean Rondeau du meilleur d&eacute;butant fran&ccedil;ais, K&eacute;vin Estre est d&eacute;sormais tourn&eacute; vers un seul objectif : remporter enfin la victoire au classement g&eacute;n&eacute;ral de la mythique &eacute;preuve sarthe.
 <img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="https://medias.ffsa.org/uploads/images/medias/2024/11/estre-wec.jpg" alt="K&eacute;vin Estre Champion du Monde d'Endurance" width="632" height="421" />
&nbsp;
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Le pilote tricolore Kévin Estre a décroché ce week-end le titre mondial des pilotes en FIA World Endurance Championship (WEC).

Kévin Estre Champion du Monde d'Endurance

<body id="ih88"><div id="ilow" class="builder-container"><div id="igf9" class="builder-row"><div id="i41z" data-column-align-items="1" class="builder-column">Esteban Ocon et Pierre Gasly prennent les 2e et 3e place sur le Circuit d'Interlagos après une course folle. Ce résultat historique offre 35 points à BWT Alpine Formula One Team. L'écurie tricolore remonte ainsi de la 9e à la 6e place au classement du Championnat du Monde des Constructeurs.<a data-variant="underline" id="i7cp" target="_blank" href="https://youtu.be/A0JiQL93lUI?si=eYuPIqtjeVeOwdcI" class="builder-button">RÉSUMÉ du Grand Prix du brésil</a></div><div id="i1sc" class="builder-column"><img alt="" src="https://medias.ffsa.org/uploads/images/medias/2024/11/gasly-ocon-brazil.jpg" id="iaq7" class="builder-image"/></div></div></div></body><style>* { box-sizing: border-box; } body {margin: 0;}.builder-container{padding:10px;}.builder-row{display:grid;grid-auto-columns:1fr;grid-auto-flow:column;grid-column-gap:64px;padding-bottom:64px;}.builder-row:empty{padding-top:10px;padding-right:10px;padding-left:10px;}.builder-column{width:auto;display:flex;flex-direction:column;justify-content:center;}.builder-column:empty{padding:10px;}.builder-image{display:block;width:100%;}#iaq7{max-width:100%;height:auto;}.builder-text{font-family:'Poppins', sans-serif;color:#7982a6;font-size:.75rem;font-weight:500;}#iowd{margin:0px 0px 2% 0px;}.builder-button{font-family:'Poppins', sans-serif;display:block;color:#2c2c6f;text-transform:uppercase;font-size:.9375rem;font-style:italic;font-weight:800;}#i41z{display:block;flex-direction:null;justify-content:null;}@media (max-width: 992px){.builder-row-reverse > *:first-child{order:1;}}</style>

Après une course remplie de rebondissements, Esteban Ocon (P2) et Pierre Gasly (P3) sont tous les deux montés sur le podium du Grand Prix du Brésil ce dimanche.

Double podium tricolore au Grand Prix du Brésil

<h4>Les faits marquants</h4>
Disput&eacute;e sous la pluie, la premi&egrave;re course a vu Th&eacute;ophile prendre la 4e place devant Evan Giltaire. Enzo Peugeot a termin&eacute; 8e alors qu&rsquo;Alessandro Giusti a d&ucirc; abandonner.
Sandro est parti depuis la 2e place de la grille de la Course 2, derri&egrave;re Th&eacute;ophile qui a vu l&rsquo;arriv&eacute;e en 4e position pour la deuxi&egrave;me fois cons&eacute;cutive. Enzo termine 5e.
Sandro boucle l&rsquo;exercice 2024 &agrave; la 4e place et rate d&rsquo;un souffle le podium du championnat, toute comme Evan manque de peu d&rsquo;&ecirc;tre sacr&eacute; meilleur rookie.
&Agrave; Monza, la grande finale de la saison du Championnet d&rsquo;Europe de Formule R&eacute;gionale par Alpine promettait d&rsquo;&ecirc;tre flamboyante dans le temple de la vitesse europ&eacute;en et &agrave; une date o&ugrave; l&rsquo;&eacute;t&eacute; joue g&eacute;n&eacute;ralement les prolongations.
Si la m&eacute;t&eacute;o a fait une sortie de piste magistrale avec froidure et fortes averses, le spectacle fut chaud bouillant et les quatre pilotes de l&rsquo;&Eacute;quipe de France FFSA Circuit ont &eacute;t&eacute; parmi les plus brillants acteurs du week-end de gala italien.
&nbsp;
<h4>Ils marchent sur l&rsquo;eau</h4>
Malgr&eacute; le froid et les averses incessantes, les essais libres ont &eacute;t&eacute; rondement men&eacute;s, voir domin&eacute;s, par les quatre partenaires de l&rsquo;&Eacute;quipe de France FFSA Circuit. De bon augure pour la premi&egrave;re s&eacute;ance qualificative ? C&rsquo;&eacute;tait sans compter sur les intemp&eacute;ries qui ont enclench&eacute; la vitesse sup&eacute;rieure et provoqu&eacute; l&rsquo;annulation de la s&eacute;ance.
L&rsquo;ultime s&eacute;ance d&rsquo;entra&icirc;nement a servi de matrice pour &eacute;tablir la grille de d&eacute;part de la premi&egrave;re course, &eacute;jectant Evan Giltaire (7e) et Alessandro Giusti (9e) du top 4 qu&rsquo;ils n&rsquo;ont quitt&eacute; qu&rsquo;&agrave; l&rsquo;occasion de cette ultime r&eacute;p&eacute;tition lorsqu&rsquo;ils se concentraient sur les configurations course. Respectivement 10e et 11e, Th&eacute;ophile Na&euml;l et Enzo Peugeot ont boucl&eacute; le top 10.
Partie sous la bienveillance de la voiture de s&eacute;curit&eacute; et sous une averse nourrie, la premi&egrave;re course a pris le contrepied des pilotes et des observateurs en ne d&eacute;cochant qu&rsquo;une neutralisation, &agrave; 5 minutes de l&rsquo;arriv&eacute;e. Jusque-l&agrave;, le spectacle fut somptueux et les bagarres intenses et &agrave; tous les niveaux du peloton d&rsquo;une trentaine de monoplaces.
Hormis Sandro contraint &agrave; l&rsquo;abandon, Evan, Th&eacute;o et Enzo ont remport&eacute; la plupart de leurs combats, les deux premiers nomm&eacute;s se livrant un duel sensationnel sur une piste pi&eacute;geuse et &agrave; l&rsquo;adh&eacute;rence pr&eacute;caire. Th&eacute;o a sign&eacute; la remont&eacute;e la plus solide (4e) en devan&ccedil;ant Evan (5e et meilleur rookie) dont les pneus ont souffert en fin de parcours, Enzo prenant la 8e place.
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<h4>1&egrave;re ligne 100% FFSA, 3 top 5 en course</h4>
Dominateurs de leur groupe respectif, Th&eacute;o et Sandro ont enfin pu exploiter leur potentiel sur un tour lanc&eacute; lors de la seconde qualification. Ils ont ainsi cadenass&eacute; la premi&egrave;re ligne de la grille, Th&eacute;o signant sa premi&egrave;re pole position en Freca ainsi que la premi&egrave;re de son &eacute;quipe. &Eacute;chouant &agrave; seulement 9 centi&egrave;mes de son &eacute;quipier de Saint&eacute;loc Racing, Enzo s&rsquo;est &eacute;lanc&eacute; de la 5e place, Evan de la 12e.
Contrairement &agrave; la veille, les sorties de la voiture de s&eacute;curit&eacute; ont grandement calm&eacute; les ardeurs du peloton pour l&rsquo;ultime manche de la saison, la course &eacute;tant finalement arr&ecirc;t&eacute;e avant son terme par un accrochage et un d&eacute;part de feu, heureusement sans gravit&eacute;.
Sandro a jet&eacute; toutes ses forces dans la bataille pour tenter d&rsquo;aller chercher la 3e place au championnat que seule une victoire pouvait lui offrir. Malgr&eacute; un meilleur tour en course, il n&rsquo;a pas pu lutter contre le vainqueur du jour et champion de la discipline, Rafael Camara, qui a d&eacute;bord&eacute; Sandro et Th&eacute;o d&egrave;s les premiers m&egrave;tres de course. Sandro a ralli&eacute; l&rsquo;arriv&eacute;e &agrave; la 2e place, son 7e podium de l&rsquo;ann&eacute;e.
Au jeu des aspirations et des push-to-pass, Th&eacute;o a r&eacute;trograd&eacute; &agrave; la 7e place, mais l&rsquo;arr&ecirc;t de la course au drapeau rouge lui a rendu la 4e position qu&rsquo;il occupait le tour pr&eacute;c&eacute;dant l&rsquo;incident final, tandis qu&rsquo;il a fait perdre un cran &agrave; Enzo (5e et meilleur rookie) et deux &agrave; Evan remont&eacute; &agrave; la 9e place avant l&rsquo;application du r&egrave;glement.
Sandro boucle sa seconde saison de Freca &agrave; la 4e place &agrave; 3 points du podium et Evan manque de peu le titre de meilleur rookie. Th&eacute;o termine l&rsquo;ann&eacute;e &agrave; la 9e place et Enzo &agrave; la 14e.
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<h4>Le d&eacute;brief des pilotes</h4>
Sandro Giusti
&laquo; On savait que la FP2 risquait de servir de qualifications et il fallait &ecirc;tre bien plac&eacute; en piste pendant les rares minutes o&ugrave; on a pu passer les pneus slicks. &Ccedil;a n&rsquo;a malheureusement pas toujours &eacute;t&eacute; notre cas et c&rsquo;est frustrant car on &eacute;tait tr&egrave;s rapides. Dans la premi&egrave;re course, on a mal jug&eacute; le set-up et mes pneus se sont rapidement effondr&eacute;s. Apr&egrave;s avoir fait la pole de mon groupe en Q2, la deuxi&egrave;me course aurait pu nous permettre de terminer sur une victoire car j&rsquo;&eacute;tais le plus rapide en piste, mais il y a eu beaucoup trop de safety car pour esp&eacute;rer s&rsquo;emparer de la premi&egrave;re place. On termine l&rsquo;ann&eacute;e avec un podium, mais on a tra&icirc;n&eacute; un manque de r&eacute;ussite qui nous a parfois co&ucirc;t&eacute; cher. A l&rsquo;image de la 3e place au championnat, qui m&rsquo;&eacute;chappe pour 3 points &raquo;.
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Th&eacute;ophile Na&euml;l
&laquo; D&egrave;s le jeudi on a bien progress&eacute; et signer ma premi&egrave;re pole position, et la premi&egrave;re de l&rsquo;&eacute;quipe, &eacute;tait un grand moment. On ne peut pas mieux terminer l&rsquo;ann&eacute;e ! Dans la seconde course, on a eu de belles bagarres avec Enzo et d&rsquo;autres, mais les Prema Racing &eacute;taient un ton au-dessus. J&rsquo;ai perdu quelques places et &ccedil;a aurait pu &ecirc;tre pire encore sans le drapeau rouge ! La veille, c&rsquo;&eacute;tait une course dingue et mon rythme allait crescendo. C&rsquo;&eacute;tait un r&eacute;gal de remonter petit &agrave; petit, m&ecirc;me si un peu frustrant de terminer &agrave; 33 milli&egrave;mes du podium ! On a fait une tr&egrave;s bonne deuxi&egrave;me partie de saison et int&eacute;grer le top 10 au championnat est une juste r&eacute;compense pour le travail de toute l&rsquo;&eacute;quipe &raquo;.
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Enzo Peugeot
&laquo; On savait qu&rsquo;il fallait &ecirc;tre performant en FP2 car elle remplacerait probablement la premi&egrave;re qualification, mais c&rsquo;&eacute;tait un coup de poker avec des conditions ultra changeantes. En course, j&rsquo;&eacute;tais en train de d&eacute;passer le 6e quand la voiture de s&eacute;curit&eacute; est sortie et &ccedil;a m&rsquo;a fait perdre quelques places. Dans la seconde qualification, j&rsquo;&eacute;tais un peu trop proche du paquet devant moi et j&rsquo;&eacute;tais donc dans un air sale dans la Parabolica. Un peu de manque de r&eacute;ussite en course &eacute;galement avec la 4e place en piste transform&eacute;e en 5e apr&egrave;s le drapeau rouge. La seconde course est un peu &agrave; l&rsquo;image de la saison : nous avons eu un gros potentiel, mais le classement ne l&rsquo;a pas toujours refl&eacute;t&eacute;. Mais j&rsquo;ai &eacute;norm&eacute;ment appris sur moi et sur le championnat et on termine l&rsquo;ann&eacute;e par deux excellents week-ends &raquo;.
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Evan Giltaire
&laquo; Sous la pluie, on avait une grosse performance et ce n&rsquo;est pas anodin. La FP2 a &eacute;t&eacute; une loterie et la pluie est revenue au mauvais moment pour nous&hellip; sinon les essais libres ont montr&eacute; qu&rsquo;avec Sandro on aurait pu viser la 1&egrave;re ligne. En course, on a surestim&eacute; l&rsquo;&eacute;tat de la piste en pensant qu&rsquo;elle serait plus mouill&eacute;e. Malgr&eacute; un manque de performance sur la fin, la 5e place est donc un tr&egrave;s bon r&eacute;sultat pour l&rsquo;&eacute;quipe. En Q2, ma radio ne marchait pas et on n&rsquo;a pas pu adapter notre strat&eacute;gie. La 12e place est une vraie d&eacute;ception car Sandro a montr&eacute; qu&rsquo;on pouvait jouer devant. En course, la 6e place aurait pu &ecirc;tre un objectif sans les nombreux re-start et bousculades. On termine quand m&ecirc;me l&rsquo;ann&eacute;e sur de bonnes sensations &raquo;.

Théo décroche la première pole position de l'histoire de son équipe et deux 4e place en course. Deuxième à Monza, Alessandro a conclu le Championnat d’Europe de Formule Régionale par Alpine à la 4e place au classement général final.

Naël en pole et Giusti 2e en course lors de la finale de Monza

Cette ann&eacute;e encore, le final du Championnat de France F4 aura lieu sur le circuit Paul Ricard au Castellet, du 4 au 6 octobre 2024, et cette 7e et derni&egrave;re &eacute;preuve promet d&rsquo;&ecirc;tre explosive ! Depuis le d&eacute;but de la saison, trois pilotes jouent au chat et &agrave; la souris, encha&icirc;nant les podiums et les victoires, chacun en comptant quatre &agrave; son tableau d&rsquo;honneur. Le Belge Yani Stevenheydens arrive en leader avec 252 points et 11 podiums. Le pilote soutenu par le RACB est aussi celui poss&eacute;dant le plus d&rsquo;exp&eacute;rience, puisqu&rsquo;il participe &agrave; sa deuxi&egrave;me saison en F4. Le Japonais Taito Kato, en provenance de la Honda Racing School de Suzuka, a repris 16 points &agrave; son rival en s&rsquo;illustrant lors de l&rsquo;&eacute;preuve pr&eacute;c&eacute;dente &agrave; Dijon et en compte d&eacute;sormais 246 avec 11 podiums &eacute;galement. Le Varois Jules Caranta jouera quasiment &agrave; domicile sur un circuit distant d&rsquo;une centaine de kilom&egrave;tres de son lieu d&rsquo;habitation. L&rsquo;espoir fran&ccedil;ais a cumul&eacute; 235 points et 9 podiums. L&rsquo;&eacute;cart n&rsquo;est pas insurmontable, 70 points restant &agrave; distribuer.
Si le successeur d&rsquo;Evan Giltaire au palmar&egrave;s du Championnat g&eacute;r&eacute; par la FFSA Academy sera forc&eacute;ment l&rsquo;un de ses trois pilotes, bien d&rsquo;autres enjeux ne manqueront pas d&rsquo;animer le SRO Racing Festival. Renouer avec la victoire repr&eacute;sentera un objectif l&eacute;gitime pour le Luxembourgeois Chester Kieffer, le Tha&iuml;landais Rayan Caretti et l&rsquo;Andorran Frank Porte Ruiz, qui se disputeront parall&egrave;lement la 4e place du Championnat avec en arbitre Augustin Bernier. Le laur&eacute;at du Volant Feed Racing a la ferme intention de terminer sa saison par un premier succ&egrave;s.
Membre de l&rsquo;ADAC Formel 4 Junior Team, l&rsquo;Allemand Montego Maassen reste sur deux &eacute;preuves r&eacute;ussies &agrave; Magny-Cours et Dijon, il sera encore &agrave; suivre de pr&egrave;s au Castellet. Les places du top-10 au classement g&eacute;n&eacute;ral s&rsquo;annoncent convoit&eacute;es. Le Fran&ccedil;ais Jules Roussel et l&rsquo;Italien Leonardo Megna sont actuellement class&eacute;s respectivement 9e et 10e, mais l&rsquo;Irlandais Alex O&rsquo;Grady, Dylan Estre, Enzo Caldaras et Jason Leung ont d&eacute;j&agrave; montr&eacute; qu&rsquo;ils &eacute;taient capables de marquer de gros points dans le peloton de t&ecirc;te.
Un nouveau pilote d&eacute;couvrira le Championnat de France F4 sur le circuit Paul Ricard, il s&rsquo;agit du Fran&ccedil;ais Aleksandr Burdo.
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<h4>Programme F4 Paul Ricard 2024</h4>
Vendredi 04 octobre : Essais libres (11:10 &ndash; 11:40) et essais qualificatifs (16:40 &ndash; 17:05)
Samedi 05 octobre&nbsp;: Course 1 (10:05 &ndash; 10:35) et Course 2 (15:45 &ndash; 16:15)
Dimanche 06 octobre : Course 3 (11:30 &ndash; 12:00)
&gt; Dur&eacute;e des courses : 20 minutes + 1 tour
&gt; Monoplace Mygale, moteur Renault turbo, pneumatiques Pirelli, carburant Repsol 100% renouvelable
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<h4>Classement du Championnat de France F4 (apr&egrave;s 6 &eacute;preuves)</h4>
1 Yani Stevenheydens (Belgique) 252 points 2 Taito Kato (Japon) 246 points 3 Jules Caranta (France) 235 points 4 Chester Kieffer (Luxembourg) 116 points 5 Rayan Caretti (Tha&iuml;lande) 109 points 6 Frank Porte Ruiz (Andorre) 99 points 7 Augustin Bernier (France) 92 points 8 Montego Maassen (Allemagne) 60 points 9 Jules Roussel (France) 58 points 10 Leonardo Megna (Italie) 48 points 11 Alex O&rsquo;Grady (Irlande) 44 points 12 Dylan Estre (France) 40 points 13 Enzo Caldaras (France) 35 points 14 Jason Leung (Canada) 33 points 15 Arthur Dorison (France) 21 points 16 Karel Schulz (France) 20 points 17 Gabriel Doyle-Parfait (Grande-Bretagne) 19 points 18 Alexandre Munoz (France) 3 points 19 Edouard Borgna (France) 1 point Mathilda Paatz (Allemagne) Rom&eacute;o Leurs (France) Tom Le Brech (France) Louis Schlesser (France) Paul Roques (France) Arjun Chheda (Inde)

Six petits points séparent le Belge Yani Stevenheydens du Japonais Taito Kaito avant l’ultime épreuve du Championnat de France F4 au Castellet, sachant que le Français Jules Caranta conserve encore toutes ses chances avec seulement 17 points de retard.

F4 Academy : Trois pilotes pour 1 titre

Avec six s&eacute;ries diff&eacute;rentes et un total de 17 courses, cet ultime rendez-vous servira de feu d&rsquo;artifice final pour cette saison 2024.
Apr&egrave;s Nogaro, L&eacute;denon, Spa-Francorchamps, Magny-Cours et Dijon-Prenois, le Championnat de France FFSA Circuit s&rsquo;appr&ecirc;te &agrave; vivre son &eacute;pilogue dans le Var ce week-end. Traditionnellement, au tout d&eacute;but de l&rsquo;automne, c&rsquo;est sur le Circuit Paul Ricard que se jouent les titres de Champions de France lors du SRO Racing Festival. Avec 33.000 spectateurs ayant &eacute;t&eacute; recens&eacute;s l&rsquo;an dernier, cet &eacute;v&eacute;nement s&rsquo;av&egrave;re toujours plus populaire et est devenu un grand classique du calendrier.
La recette est connue : un circuit qui est l&rsquo;un des joyaux du sport automobile fran&ccedil;ais depuis plus de 50 ans, un paddock ouvert au public, des espaces pour les Supercars et un programme d&rsquo;action en piste aussi intense que vari&eacute;.&nbsp;
Pas moins de 17 d&eacute;parts seront donn&eacute;s entre samedi 10h et dimanche 17h30 et il y en aura pour tous les go&ucirc;ts. On retrouve en effet &agrave; l&rsquo;affiche le Championnat de France FFSA GT, mais aussi le Championnat de France FFSA F4, le Championnat de France FFSA Tourisme, le Troph&eacute;e Mitjet France, l&rsquo;Alpine Cup Series et la Clio Cup Series. Le tout pour un tarif hyper d&eacute;mocratique fix&eacute; &agrave; 15 euros pour deux jours et 10 euros pour un jour seulement. Alors, on se retrouve sur le Circuit Paul Ricard ?
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<h4>Championnat de France FFSA GT : encore deux titres &agrave; attribuer</h4>
Trois titres Pilotes et trois titres &Eacute;quipes sont mis en jeu en Championnat de France FFSA GT et le suspense reste entier pour cinq d&rsquo;entre eux, seule la Silver Cup ayant r&eacute;v&eacute;l&eacute; ses champions chez les Pilotes.&nbsp;
Leaders de la classe Pro-Am depuis la toute premi&egrave;re course de la saison &agrave; Nogaro, Ga&euml;l Castelli et Rodolphe Wallgren (Audi R8 LMS GT4 &ndash; CSA Racing) ont vu les champions 2023 &Eacute;ric Tr&eacute;moulet-Olivier Jouffret (Mercedes-AMG GT4 &ndash; Vic&rsquo;Team) revenir &agrave; 29 points gr&acirc;ce &agrave; deux succ&egrave;s &agrave; Dijon-Prenois. Avec un total de 52 unit&eacute;s encore en jeu, rien n&rsquo;est fait ! Troisi&egrave;mes, Noam Abramczyk et Thomas Laurent (Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport &ndash; AV Racing) ont 49 points de retard et ils voudront surtout se battre pour une place sur le podium final avec les duos Pascal Huteau-Gaspard Simon et Gr&eacute;gory Guilvert-Laurent Hurgon, tous deux engag&eacute;s sur les Alpine A110 GT4 EVO de la structure Schumacher CLRT.
En Am Cup, Matteo Salomone et Rudy Servol (Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport &ndash; AV Racing) sont &eacute;galement en t&ecirc;te depuis le premier rendez-vous. Ils ont toutefois vu revenir dans leur dos St&eacute;phane Auriacombe et St&eacute;phane L&eacute;meret (Alpine A110 GT4 EVO &ndash; CMR). Avant le dernier rendez-vous, 25 points s&eacute;parent ces duos. Gr&acirc;ce &agrave; un premier succ&egrave;s &agrave; Dijon faisant tomber leur retard &agrave; 34 points, Gr&eacute;gory Curson Faessel et Florian Teillais (BMW M4 GT4 &ndash; VSF Sports Amplitude automobiles) conservent aussi leurs chances.&nbsp;
La Silver Cup est donc la seule des trois classes pour laquelle le titre Pilotes est d&eacute;j&agrave; attribu&eacute;, Victor Weyrich et Matteo Villagomez (Aston Martin Vantage AMR GT4 EVO) ayant scell&eacute; le championnat &agrave; Dijon. M&ecirc;me si ce n&rsquo;est pas jou&eacute; math&eacute;matiquement, il suffira d&rsquo;une arriv&eacute;e de son duo pour que Racing Spirit of L&eacute;man les imite chez les &Eacute;quipes. Le suspense viendra de la lutte pour la deuxi&egrave;me place. Ayant chang&eacute; d&rsquo;&eacute;quipier en cours de saison, Mateo Herrero (qui roule avec Tom Verdier) est le seul des deux pilotes de l&rsquo;Alpine A110 GT4 EVO de Chazel Technologie Course encore en lice pour le titre honorifique de vice-champion. Il compte un point de plus que Viny Beltramelli et Florian Brich&eacute; (Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport &ndash; JSB Comp&eacute;tition) et neuf points de plus que Hugo Bac et Hugo Mogica (Ginetta G56 GT4 EVO &ndash; CMR), en pleine remont&eacute;e apr&egrave;s avoir remport&eacute; trois victoires en quatre courses.&nbsp;
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<h4>Championnat de France FFSA F4 : trio en folie</h4>
Quelle saison pour le Championnat de France FFSA F4 ! Avant m&ecirc;me la finale, on sait d&eacute;j&agrave; que cette cuv&eacute;e 2024 restera assur&eacute;ment comme l&rsquo;une des plus disput&eacute;es de l&rsquo;histoire du championnat g&eacute;r&eacute; par la FFSA Academy.
Au moment d&rsquo;arriver sur le Circuit Paul Ricard, trois pilotes visent encore un titre qui pourrait changer leur carri&egrave;re &agrave; jamais : le Belge Yani Stevenheydens, le Japonais Taito Kato et le Fran&ccedil;ais Jules Caranta.
Sur l&rsquo;ensemble d&rsquo;un week-end, il est possible de marquer jusqu&rsquo;&agrave; 70 points. Or, les trois hommes sont group&eacute;s en 17 points, ce qui signifie qu&rsquo;ils sont tous ma&icirc;tres de leur destin. Face &agrave; des adversaires bien d&eacute;cid&eacute;s &agrave; terminer la saison en beaut&eacute;, les trois rivaux auront trois courses de 20 minutes + 1 tour pour se d&eacute;partager avec des d&eacute;parts samedi &agrave; 10h10 et &agrave; 15h50 puis dimanche &agrave; 11h35. Qui succ&eacute;dera &agrave; Evan Giltaire dans le palmar&egrave;s ? R&eacute;ponse dimanche sur le coup de midi !&nbsp;
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<h4>Championnat de France FFSA Tourisme : plus de 50 voitures pour une finale &agrave; suspense</h4>
Sur le magnifique Circuit Paul Ricard, le Championnat de France FFSA Tourisme s&rsquo;appr&ecirc;te &agrave; conclure sa quatri&egrave;me saison par un feu d&rsquo;artifice. Plus de 55 voitures sont attendues dans le Var, r&eacute;parties dans les six classes, pour disputer quatre courses de 25 minutes. Du sprint &agrave; l&rsquo;&eacute;tat pur, une comp&eacute;tition multimarque, des luttes intenses&hellip; Participants et spectateurs vont se r&eacute;galer lors de cet ultime rendez-vous de la saison avec deux d&eacute;parts samedi (13h25 et 17h30) et deux dimanche (9h15 et 14h05).
Tout au long de la saison, la cat&eacute;gorie TCR a propos&eacute; une lutte de tous les instants. Au moment d&rsquo;arriver sur le Circuit Paul Ricard, le vice-champion 2023 Julien Paget (Cupra L&eacute;on Comp&eacute;ticion TCR &ndash; Optimum Racing-ASM) semble en position id&eacute;ale pour aller coiffer cette couronne qui lui avait &eacute;chapp&eacute; l&rsquo;an dernier. Avec 13,5 points de retard, Sylvain Pussier (Cupra L&eacute;on VZ TCR &ndash; SP Comp&eacute;tition) reste toutefois ma&icirc;tre de son destin : s&rsquo;il gagne les quatre courses, le repr&eacute;sentant de l&rsquo;Ain sera champion, quels que soient les r&eacute;sultats de son rival. Dans cette course pour le titre, il ne faut pas exclure S&eacute;bastien Thome (Audi RS 3 LMS TCR &ndash; Team Clairet Sport). Son absence lors du meeting d&rsquo;ouverture &agrave; Nogaro p&egrave;se toujours dans la balance, mais il est celui qui a marqu&eacute; le plus de points sur les quatre derniers meetings. Avec un peu de r&eacute;ussite (ou de malchance de ses adversaires&hellip;), il pourrait cr&eacute;er la surprise dimanche soir !&nbsp;
Il n&rsquo;y a plus de suspense dans la classe TC : Viny Beltramelli (Peugeot 308 RC &ndash; Team Pilote 69 by 2RT) s&rsquo;est d&eacute;j&agrave; adjug&eacute; le titre &agrave; Dijon-Prenois. C&rsquo;est donc lui qui recevra la bourse de 50.000 euros offerte par SRO Motorsports Group et ses partenaires pour disputer la saison 2025 du Championnat de France FFSA GT. Gr&acirc;ce &agrave; sa confortable avance, le jeune Rapha&euml;l Fournier (Peugeot 308 RC &ndash; JSB Comp&eacute;tition), pass&eacute; de la classe TCA Light &agrave; la classe TC cette ann&eacute;e, devrait aller chercher une m&eacute;daille d&rsquo;argent que Brady Beltramelli (Peugeot 308 RC &ndash; Team Pilote 69 by 2RT) et Kevin Ropars (Peugeot 208 R &ndash; 2RT) peuvent encore revendiquer sur le plan purement math&eacute;matique.
Avec 46 points d&rsquo;avance et un maximum de 50 encore &agrave; attribuer, Ethan Gialdini est &eacute;videmment le grand favori au titre dans la GT Academy. Sauf catastrophe, le jeune Al&eacute;sien de 17 ans sera le premier laur&eacute;at de cette nouvelle comp&eacute;tition voyant s&rsquo;affronter toutes des Ginetta G56 GTA identiques. S&rsquo;il termine une des deux courses auxquelles il prendra part, le fer de lance de la structure Styl&amp;Grip sera champion d&egrave;s sa premi&egrave;re saison en sport automobile. Derri&egrave;re lui, Thibaut Mogica (Tierce Racing) et les jeunes Alexandre Monnot (Tierce Racing) et Mehdi Bouarfa (Styl&amp;Grip) tenteront de finir la saison en force. Notons aussi la pr&eacute;sence sur cette finale de l&rsquo;exp&eacute;riment&eacute; Valentin Simonet, vice-champion de la Am Cup dans le Championnat de France FFSA GT 2019.
Avec 13 points de diff&eacute;rence entre les deux leaders, le suspense est entier pour l&rsquo;attribution du titre de Champion de France FFSA dans la classe GT Light. Apr&egrave;s son absence lors des Coupes de P&acirc;ques de Nogaro, Nicco Ferrarin (Ligier JS2 R &ndash; AGS Events) a entam&eacute; une folle remont&eacute;e qu&rsquo;il r&ecirc;ve de conclure avec une couronne nationale. S&rsquo;il s&rsquo;impose lors des quatre courses sur le Circuit Paul Ricard, il sera champion&hellip; De son c&ocirc;t&eacute;, le leader, David Chiche (Ligier JS2 R &ndash; Team CDRS) a fait mieux que limiter les d&eacute;g&acirc;ts face &agrave; son redoutable adversaire. Mais il le sait, pour coiffer la couronne, il ne pourra pas se contenter d&rsquo;une position d&rsquo;attente.&nbsp;
Sauf catastrophe, Frank Labescat (Peugeot RCZ RC &ndash; Team CDRS) sera titr&eacute; dans la classe TCA d&egrave;s samedi, son avance de 42 points &eacute;tant particuli&egrave;rement confortable. La remarque est la m&ecirc;me pour Quentin Prudent (Mini R56 MCS-R &ndash; ADWShop Motorsport) dans la Coupe TCA-2, qui voit s&rsquo;affronter des voitures un peu moins performantes. On devrait voir quatre Mini align&eacute;es par ADWShop Motorsport, dont celle du patron-pilote Micka&euml;l Boisdur. Face &agrave; elles, deux Clio Cup IV du Team Leal Comp&eacute;tition seront de partie avec notamment les Henry p&egrave;re et fils (Christophe et Lubin) derri&egrave;re le volant.
Comme souvent, la classe TCA Light qui regroupe les Peugeot 208 RC sera tr&egrave;s bien fournie pour cette finale sur le Circuit Paul Ricard. Une quinzaine de voitures devraient se disputer les quatre victoires mises en jeu&hellip; mais plus le titre, qui est d&eacute;j&agrave; scell&eacute; depuis Dijon-Prenois. Ayant domin&eacute; la saison avec 14 victoires en 20 courses, Colin Boreau (Boreau Team Sport by JSB) est logiquement champion. Malgr&eacute; son jeune &acirc;ge (16 ans), Karel Eyoum (JFM Racing) est d&eacute;j&agrave; assur&eacute; de s&rsquo;emparer de la m&eacute;daille d&rsquo;argent. Toutefois, les derni&egrave;res victoires seront &agrave; coup s&ucirc;r tr&egrave;s disput&eacute;es.&nbsp;
Outre ces trois Championnats de France, le Troph&eacute;e Mitjet France, l&rsquo;Alpine Cup Series et la Clio Cup Series assureront &eacute;galement leur part de spectacle lors de ce SRO Racing Festival. Vous l&rsquo;avez compris, voici un rendez-vous &agrave; ne pas manquer !&nbsp;
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Ultime rendez-vous du Championnat de France FFSA Circuit, le SRO Racing Festival proposera ce week-end sur le Circuit Paul Ricard ce qui se fait de mieux dans le paysage du sport automobile en bleu-blanc-rouge.

Un festival en bleu-blanc-rouge pour conclure la saison en beauté

<h4>Les faits marquants</h4>
- Sandro a flirt&eacute; avec la pole position et a sereinement conquis la 2e place en course. - Avec une belle moisson de points, il gagne une place au championnat (4e) et revient &agrave; 19 unit&eacute;s de la 3e. - Enzo Peugeot a sign&eacute; deux arriv&eacute;es solides dans les points. -&nbsp; Th&eacute;ophile Na&euml;l &eacute;tait en passe d&rsquo;imiter son &eacute;quipier avant une disqualification.
L&rsquo;avant-derni&egrave;re manche du Championnat d&rsquo;Europe de Formule R&eacute;gionale par Alpine (Freca) s&rsquo;est tenue &agrave; Barcelone sous un soleil estival. Tous les pilotes connaissant par c&oelig;ur le Circuit de Catalunya, le diable se cachait dans les d&eacute;tails et la moindre imperfection se payait lourdement dans la hi&eacute;rarchie.
Avec un podium, une premi&egrave;re ligne et 7 arriv&eacute;es sur 8 dans le top 10 sous le drapeau &agrave; damier, Sandro, Th&eacute;o, Enzo et Evan ont globalement brill&eacute; en Espagne.
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<h4>Tout se joue aux d&eacute;parts</h4>
Dans un championnat aussi complexe et riche de talents, il est des rendez-vous qu&rsquo;il ne faut pas manquer sur un circuit de Catalunya o&ugrave; les processions ne sont pas rares en course : les qualifications et le d&eacute;part.
Apr&egrave;s des essais libres tr&egrave;s prometteurs, les quatre pilotes de l&rsquo;&Eacute;quipe de France FFSA Circuit et leurs &eacute;quipes ont pos&eacute; un lapin aux qualifications Q1 en laissant filer les centi&egrave;mes de seconde dans les multiples d&eacute;tails de la Freca. Set-up, pression et exploitation des pneus, agressivit&eacute;, gestion de la temp&eacute;rature de la piste qui a jou&eacute; au yoyo entre les qualifications et les courses.
L&rsquo;exp&eacute;riment&eacute; Sandro a le mieux tir&eacute; son &eacute;pingle du jeu (8e) en emmenant les deux pilotes Saint&eacute;loc dans son sillage (Th&eacute;o 11e, Enzo 13e) alors qu&rsquo;Evan a pris la 22e place.
Dans la premi&egrave;re course, le rendez-vous des d&eacute;parts a en revanche &eacute;t&eacute; honor&eacute; par les duellistes tricolores. Sandro a &eacute;vit&eacute; le pire en d&eacute;cochant une s&eacute;rie de r&eacute;flexes miracles pour &eacute;viter non pas un mais deux pilotes qui ont pein&eacute; &agrave; d&eacute;coller &agrave; l&rsquo;extinction des feux. Se faisant, il a d&ucirc; lever le pied pour &eacute;viter Th&eacute;o qui le d&eacute;bordait logiquement. Apr&egrave;s une neutralisation cons&eacute;cutive &agrave; un incident au premier virage qui co&ucirc;tait deux positions &agrave; Sandro, Th&eacute;o &eacute;mergeait en 6e position, Enzo en 8e, Sandro en 9e et Evan avait gagn&eacute; 7 places.
Au re-start, Enzo r&eacute;pondait pr&eacute;sent, d&eacute;bordait Ugochukwu qui &eacute;tait victime de sa d&eacute;fense rugueuse et abandonnait, permettant aux trois Fran&ccedil;ais du top 10 de rouler de concert aux 6e, 7e et 8e place. Puis la procession anticip&eacute;e en Catalogne a fig&eacute; les positions jusqu&rsquo;&agrave; l&rsquo;arriv&eacute;e.
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<h4>Proches de l&rsquo;exploit</h4>
Les d&eacute;tails de la Q1 int&eacute;gr&eacute;s par ART Grand Prix et leurs pilotes, Sandro, revanchard et d&eacute;termin&eacute;, a coch&eacute; toutes les cases du rendez-vous de la Q2, &agrave; quelques milli&egrave;mes de sa premi&egrave;re pole position. Evan a poursuivi sa progression &ndash; le champion en titre de F4 France a divis&eacute; par trois la seconde de retard qu&rsquo;il accusait sur la pole position de la Q1 &ndash; mais avec des &eacute;carts fortement resserr&eacute;s, il a pris le d&eacute;part depuis la 14e place, juste derri&egrave;re Th&eacute;o qui, pour 90 milli&egrave;mes de seconde a vu la 3e ligne de la grille lui &eacute;chapper. Son &eacute;quipier Enzo s&rsquo;est positionn&eacute; dans le top 10 (7e) pour la 9e fois de l&rsquo;ann&eacute;e.
Un accrochage au premier virage de la seconde course a b&eacute;n&eacute;fici&eacute; &agrave; Evan et Th&eacute;o, respectivement 10e et 11e, deux longueurs derri&egrave;re Enzo p&eacute;nalis&eacute; par un passage dans l&rsquo;herbe pour tenter de d&eacute;border un adversaire plus lent que lui. Au re-start, Enzo a retrouv&eacute; sa 7e place initiale et ne l&rsquo;a plus l&acirc;ch&eacute;e tandis que Th&eacute;o et Evan ont entam&eacute; un duel de longue haleine qui a vu les deux hommes &eacute;changer plusieurs fois leurs positions pour franchir l&rsquo;arriv&eacute;e aux 8e et 10e places. Aux avant-postes, une course propre et ma&icirc;tris&eacute;e &agrave; conduit Sandro sur son 6e podium de l&rsquo;ann&eacute;e et son 4e cons&eacute;cutif, sans qu&rsquo;il n&rsquo;ait jamais pu rester au contact du leader.
Avec ses quatre repr&eacute;sentants dans le top 10, l&rsquo;&Eacute;quipe de France FFSA Circuit est pass&eacute;e proche de l&rsquo;exploit, jusqu&rsquo;&agrave; ce que Th&eacute;o et Evan soient disqualifi&eacute;s dans la soir&eacute;e, pour avoir actionn&eacute; leur push-to-pass trop t&ocirc;t apr&egrave;s une neutralisation&hellip;
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<h4>Le d&eacute;brief des pilotes</h4>
Sandro Giusti : &laquo; Entre la Q1 et la Q2, on a chang&eacute; le set-up et c&rsquo;&eacute;tait le jour et la nuit. Dimanche, la pole position nous passe sous le nez pour tr&egrave;s peu. Dans la premi&egrave;re course, apr&egrave;s la chaleur du d&eacute;part, je suis rest&eacute; trop proche d&rsquo;Enzo et &ccedil;a a tu&eacute; mes pneus qui avaient du mal sur la fin. Dans la deuxi&egrave;me course, j&rsquo;ai rapidement compris qu&rsquo;il n&rsquo;y avait rien &agrave; faire contre Wharton qui &eacute;tait sur une autre plan&egrave;te &agrave; Barcelone. J&rsquo;esp&egrave;re qu&rsquo;&agrave; Monza on partira tout de suite du bon pied et qu&rsquo;on pourra viser pole position et victoire pour bien finir l&rsquo;ann&eacute;e &raquo;.
Th&eacute;ophile Na&euml;l : &laquo; Il y a eu des hauts et des bas. La performance pure &eacute;tait bonne du c&ocirc;t&eacute; de l&rsquo;&eacute;quipe comme du mien. Un mauvais choix en Q1 nous a emp&ecirc;ch&eacute; de nous battre pour les premi&egrave;res places et en Q2 il n&rsquo;y a que 45 milli&egrave;mes entre Enzo et moi, mais qui valent 6 places sur la grille ! En course, le rythme &eacute;tait solide et constant par rapport &agrave; nos adversaires. Malheureusement, une erreur de push-to-pass a priv&eacute; l&rsquo;&eacute;quipe des points que j&rsquo;&eacute;tais all&eacute; chercher en piste &raquo;.
Enzo Peugeot : &laquo; Globalement c&rsquo;est tr&egrave;s positif avec une progression collective, deux belles arriv&eacute;es dans les points apr&egrave;s avoir remport&eacute; quelques bagarres en piste. &Ccedil;a se joue &agrave; trois fois rien et il nous faut trouver un ou deux dixi&egrave;mes en qualifications pour avoir une chance de monter sur le podium. En Q1 les pneus surchauffaient, sans quoi le top 3 de mon groupe &eacute;tait jouable. En Q2, on s&rsquo;est bien adapt&eacute; mais le compromis n&rsquo;&eacute;tait pas id&eacute;al et m&rsquo;a fait perdre du temps dans le premier secteur &raquo;.
Evan Giltaire : &laquo; Entre le d&eacute;but et la fin du week-end, on a fait un gros pas en avant avec l&rsquo;&eacute;quipe. En Q1 on &eacute;tait un peu perdu, et en Q2 il m&rsquo;a manqu&eacute; un peu d&rsquo;exp&eacute;rience pour tout bien g&eacute;rer et exploiter. Sandro a montr&eacute; qu&rsquo;on pouvait jouer aux avant-postes. Au final une erreur qui para&icirc;t insignifiante co&ucirc;tait tr&egrave;s cher avec des &eacute;carts incroyablement faibles. En course, le rythme &eacute;tait plut&ocirc;t bon et le point de la 10e place aurait &eacute;t&eacute; une belle r&eacute;compense. Mais c&rsquo;est la r&egrave;gle, elle est dure mais c&rsquo;est la m&ecirc;me pour tous et j&rsquo;accepte cette disqualification &raquo;.
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<h4>R&eacute;sultats et classements</h4>
Alessandro Giusti
Course 1 Position sur la grille : 10e R&eacute;sultat : 8e&nbsp;&nbsp;
Course 2 Position sur la grille : 2e R&eacute;sultat : 2e&nbsp; &nbsp; &nbsp;
Championnat 4e, 177 points
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Th&eacute;ophile Na&euml;l
Course 1 Position sur la grille : 11e R&eacute;sultat : 6e&nbsp; &nbsp;
Course 2 Position sur la grille : 13e R&eacute;sultat : 11e&nbsp; &nbsp; &nbsp;
Championnat 11e, 57 points
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Enzo Peugeot
Course 1 Position sur la grille : 13e R&eacute;sultat : 7e&nbsp; &nbsp;&nbsp;
Course 2 Position sur la grille : 7e R&eacute;sultat : 7e&nbsp; &nbsp; &nbsp;
Championnat 15e, 38 points
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Evan Giltaire
Course 1 Position sur la grille : 22e R&eacute;sultat : 15e&nbsp; &nbsp;
Course 2 Position sur la grille : 14e R&eacute;sultat : 17e
Championnat 8e, 87 points
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Prochaines courses : 25-27 octobre &agrave; Monza (Italie).

À Barcelone, Sandro est parti de la 1ère ligne pour monter sur la 2e marche du podium de la pénultième manche du Championnat d’Europe de Formule Régionale par Alpine.

Giusti enchaîne avec son 6e podium en Espagne

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